vendredi 16 décembre 2016
mardi 13 décembre 2016
Imagerie de l'oreille et de l'os temporal : Traumatologie, urgences, otospongiose
Imagerie de l'oreille et de l'os temporal : Traumatologie, urgences, otospongiose
L’imagerie de l’oreille et des régions adjacentes est, plus qu’ailleurs, en évolution constante dans un espace anatomique de mieux en mieux exploré. Et l’abondance de l’information anatomique visible sur les images d’une qualité impressionnante ainsi que la richesse des pathologies visualisées exigent de solides connaissances et une formation précise pour leur bonne interprétation.
C’est à ce défi que répond l’Imagerie de l’oreille et de l’os temporal, fruit du travail d’une équipe d’experts internationaux dirigée par le Professeur Francis Veillon, en s’appuyant sur une confrontation minutieuse radio-chirurgicale et radio-anatomopathologique pour guider le lecteur.
Réunissant plus de 6 000 illustrations d’une qualité exceptionnelle, tant pour les imageries médicales que les dessins, accompagnées d’une description précise, l’ouvrage présente l’ensemble de l’imagerie normale et pathologique de l’oreille et de l’os temporal, en six volumes, afin de permettre au lecteur un accès à l’information le plus facile possible.
Le premier volume est consacré à l’anatomie et l’imagerie normales sous différents aspects, que ce soit les constituants élémentaires de l’oreille pris séparément, en insistant sur des structures jusque-là méconnues comme l’utricule ou le saccule, ou les voies nerveuses de l’équilibration et de l’audition, dont la configuration en imagerie reste énigmatique pour de nombreux radiologues et cliniciens.
Le second volume est dédié à la pathologie inflammatoire avec ou sans cholestéatomes, où l’IRM tient une place prépondérante qui mérite des explications précises reposant sur de nombreux exemples.
Le troisième volume concerne la pathologie traumatique, proposant une lecture simplifiée des fractures de l’os temporal ainsi qu’une approche en TDM et IRM des fistules de fenêtres sans fracture. L’utilité de l’imagerie de l’oreille en urgence est également présentée. Une part importante est consacrée à l’otospongiose, si fréquente, dont certaines formes rares et déroutantes sont également détaillées. L’imagerie joue un rôle par ailleurs très important dans l’analyse de l’otospongiose opérée.
Le quatrième volume s’adresse à la pathologie tumorale et pseudo-tumorale de l’oreille et des régions adjacentes (angle pontocérébelleux, foramen jugulaire). Le nerf facial est traité à part, avec notamment un chapitre particulier consacré aux conflits artères-nerfs.
Le cinquième volume s’intéresse à l’enfant et à toutes les affections spécifiques qui le concernent. Une attention toute particulière est portée à l’imagerie des implants cochléaires.
Le sixième volume décrit les apports de la TDM et de l’IRM en fonction des symptômes : surdité, acouphènes, vertiges, en réservant un regard tout à fait novateur à l’imagerie de la maladie de Ménière.
L’ouvrage se termine par une présentation des apports du cone beam, qui a probablement un bel avenir, et une utilisation très pédagogique de l’imagerie 3D des osselets.
L’ensemble de ces volumes, réunis en un coffret, apporte ainsi les réponses aux questions que se posent les radiologues et les cliniciens dans un espace réputé pour la complexité de son anatomie et la richesse de ses pathologies.
mardi 29 novembre 2016
L'essentiel de l'imagerie médicale : APPAREIL DIGESTIF
L'essentiel de l'imagerie médicale : APPAREIL DIGESTIF
La collection " l'Essentiel de l'Imagerie Médicale " englobe tous les diagnostics les plus importants de chaque spécialité clinique. Les différents volumes de la collection correspondent soit à une région anatomique : encéphale, tête et cou, moelle et rachis, sein, cœur, thorax, vaisseaux, appareil locomoteur, appareil uro-génital, appareil digestif, soit à une discipline médicale spécifique : pédiatrie, radiologie interventionnelle... Dans ces volumes, le lecteur trouvera le maximum d'informations nécessaires à sa pratique quotidienne de radiologue, très rapidement accessibles. Toutes les techniques utilisées sont traitées : radiologie standard, échographie, opacifications vasculaires, TDM, IRM. Dans chaque volume, les pathologies traitées sont rédigées selon le même plan : définition, épidémiologie, étiologie, anomalies radiologiques typiques, diagnostic différentiel, orientations thérapeutiques, pièges et artéfacts, références bibliographiques clefs, le tout richement illustré de documents de grande qualité. Cet ouvrage exhaustif et pratique, traite successivement en 272 pages et 308 illustrations : le foie, la vésicule et les voies biliaires, le pancréas, le tractus gastro-intestinal, l'œsophage, l'estomac et le duodénum, l'intestin grêle, le côlon et l'anus, la cavité abdominale. Il s'adresse aux radiologues, internes, chefs de clinique, étudiants en radiologie, hépato-gastro-entérologues et chirurgiens digestifs.
lundi 28 novembre 2016
Freinectomies labiale et linguale
Nathalie Robert-Cunrath
Freinectomies labiale et linguale
L’ablation du frein lingual ou d’un des freins labiaux constitue souvent l’intervention indispensable au traitement d’une perte de gencive, au rétablissement d’une dentition harmonieuse et des fonctions physiologiques de la bouche.
vendredi 25 novembre 2016
Imagerie de la femme [4 issues 2016]
Imagerie de la femme 2016
Numéro 1, pp.1-e1 (mars 2016)
Numéro 2, pp.47-143 (juin 2016)Numéro 3-4, pp.e5-203 (décembre 2016)
mardi 22 novembre 2016
L’hyperplasie gingivale
L’hyperplasie gingivale, épaississement anormal des gencives, est la plupart du temps liée à une inflammation locale (gingivite), mais elle peut être un signe d’une pathologie systémique (maladie de Crohn), hématologique (leucémie [infiltration gingivale par des cellules blastiques]), d’une modification hormonale (grossesse, puberté) ou d’un effet indésirable d’un traitement médicamenteux (antiépileptiques, ciclosporine A et autres immunosuppresseurs, inhibiteurs calciques, oestroprogestatifs).1, 2
L’hyperplasie gingivale liée aux immunosuppresseurs débute au niveau des papilles dentaires et peut s’étendre à la gencive marginale et attachée. Elle apparaît 3-4 mois après le début du traitement et sa sévérité dépend fortement de la dose administrée. La gencive recouvre peu à peu les dents, pouvant conduire à la formation d’une poche parodontale rendant l’hygiène buccodentaire très difficile. Des douleurs peuvent être causées par la mastication, accompagnées de gingivorragies et le risque de carie augmente. L’hyperplasie gingivale liée aux immunosuppresseurs associe histologiquement une fibrose et un infiltrat inflammatoire.
Une mauvaise hygiène bucco-dentaire est un facteur aggravant, le contrôle de la plaque dentaire (détartrage et enseignement à l’hygiène orale) doit être rigoureux afin de réduire l’inflammation.
Le traitement est chirurgical (gingivectomie par lame froide ou laser CO2) associé à une modulation du traitement immunosuppresseur.
RÉFÉRENCES
1. SM, Ejeil AL, Gaultier F, Meyer J. La gencive pathologique de l’enfant à l’adulte. Diagnostics et thérapeutiques. Paris : Espace ID, 2013.
2. Beauvillain de Montreuil C, Billet J. Pathologies gingivales. In : Pathologie de la muqueuse buccale. Rapport de la Société française d’oto-rhino-laryngologie, 2009.
Source : Hyperplasie
gingivale d’origine
médicamenteuse - La revue du praticien 8 Vol. 66 _ Novembre 2016
dimanche 20 novembre 2016
Analyses De Laboratoire En Odontostomatologie
Analyses De Laboratoire En Odontostomatologie
Comme tous les chirurgiens, les odontologistes et les stomatologistes se servent d'examens de laboratoire pour affiner leurs indications. Ils sont aussi régulièrement questionnés par des patients soucieux de connaître le retentissement des affections dont ils souffrent sur leurs problèmes dentaires ou sur la manière de conduire l'acte opératoire. Conçu sous forme de fiches pratiques, classées par pathologies, avec des synthèses de cadrage pour permettre de mieux comprendre l'intérêt ou la valeur de chacun des examens retenus, ce guide, pratique et didactique, se propose: -D'aider les chirurgiens-dentistes à interpréter les examens de laboratoires que leur soumettent leurs patients et ainsi de mieux répondre à leurs questions, -De guider les praticiens désireux de prescrire une analyse médicale pour étayer leur diagnostic, évaluer un risque opératoire, porter un pronostic. Il intéressera tous les odontologistes désireux d'approfondir leurs connaissances dans ce domaine.
source : http://recherche-biblio.blogspot.com/2016/11/analyses-de-laboratoire-en.html
samedi 19 novembre 2016
Actualités et innovation en cancérologie des voies aérodigestives supérieures.
ACTUALITÉS ET INNOVATIONS EN CANCÉROLOGIE DES VOIES AÉRODIGESTIVES SUPÉRIEURES
RAPPORT SFORL 2015
mercredi 20 juillet 2016
Diagnostics & thérapeutique (Version complète pour les smartphones sous Android)
Diagnostics & thérapeutique (Version complète pour les smartphones sous Android) William Berrebi
L’application
Diagnostics et thérapeutique, réalisée par des médecins cliniciens hautement
qualifiés, constitue la continuité de Diagnostics & thérapeutique : Guide
pratique du symptôme à la prescription dont la 7e édition est publiée
simultanément.
- Cette application permet au médecin ou
à l’interne d’avoir sur lui en permanence – même hors connexion - une quantité
considérable de données médicales ordonnées qu’il pourra consulter en temps
réel.
- Le moteur de recherche permet de
trouver immédiatement l’information recherchée : diagnostic étiologique d’une
douleur thoracique, traitement d’une pneumopathie bactérienne, traitement d’un
diabète, etc.
Vous trouverez dans cette application :
- De nombreux tableaux comparatifs ;
- Des arbres décisionnels ;
- Des schémas d’illustration (mécanisme
des maladies, techniques thérapeutiques, etc.) ;
- Des encadrés de synthèse « l’essentiel
à retenir » ; qui ont contribué au succès de « Diagnostics et thérapeutique »
dès sa première édition.
Ergonomique et novatrice, cette
application permet :
- De prendre des notes, dans n’importe
quelle question ;
- De conserver ses favoris ;
- D’archiver l’historique des questions
consultées.
Vous y trouverez également :
- Les constantes biologiques
- Les références issues de la Haute
autorité de santé ou de sociétés savantes.
- Une rubrique « Autres » avec
différentes listes utiles : associations de malades, centres antidouleurs,
centres antipoison, etc.
- L’objectif de cette application est le
même que celui de l’ouvrage : simplifier la démarche du clinicien, lui faire
gagner du temps et lui permettre de prescrire en toute sécurité.
À propos du comité rédactionnel : une
équipe de spécialistes hospitalo-universitaires, coordonnée par le Dr William
Berrebi, un expert de la pédagogie médicale.
mardi 12 juillet 2016
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