Suicide chez les jeunes à haut-risque de psychose
Plusieurs facteurs peuvent augmenter le risque de suicide chez les sujets UHR (tels que la concomitance de symptômes obsessionnels-compulsifs ou de symptômes dépressifs, les troubles liés à l’usage de substances); et peuvent ainsi être ciblés par des mesures thérapeutiques spécifiques.
Il n’existe pas de preuves à ce jour en faveur de l’association entre suicidalité et risque transition vers la psychose chez les sujets UHR.
Certaines interventions, telles que le case management intensif, la thérapie cognitivo-comportementale, la psychoéducation familiale, et une pharmacothérapie spécifique, le cas échéant, ont démontré leur efficacité sur la réduction du risque suicidaire; toutefois, il est nécessaire de développer des stratégies thérapeutiques de prévention du suicide qui soient plus ciblées à cette population spécifique.
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